Designing for debate | PhD Completed

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Doctorate PSL-SACRe / EnsadLab, Spécalité Design.
Supervision | Annie Gentès, Co-dir. : Emmanuel Mahé
Duration | nov 2012 – Soutenance : 20 dec 2019
Discipline | Design + SIC (Information and communication sciences).

Title | Designing for Debate – How to craft dissonant artefacts and their communication situations so as to open spaces for mutual contestation (agonism) and the expression of marginal voices (dissensus).

Summary for a generalist audience | Design for debate is an unconventional design practice that connects worlds that do not talk to each other. It is like bringing back an archive from the future, putting it at the centre of a table and starting a debate on the world to which this object belongs – a world that puts ours in dissonance. This study, led by the practice of design, is based on the analysis of 6 ‘design to debate’ projects that I developed to support the practice of an ethics commission and a research laboratory (between 2013 and 2017).
My first thesis is that the expression ‘design for debate’ may refer to a set of practices – including Critical, Speculative and Design Fiction – which have the same objective, to foster ‘contestation’ in society (whether mutual or collective). My second thesis deals with consensus, this unfortunate habit that gives priority to the opinions of the majority, to the detriment of minority voices. To thwart consensus, I propose to use “dissonant” design artifacts that entice us to react and question social norms. But I also propose to design the conditions of the debate. To do this, this thesis delivers methods to design and to research, and invites to think about new roles for designers who wish to participate in the fabric of democracy.

Jury :
• Guest: Bourganel Rémy | Independent consultant
• Jury member: Disalvo Carl | Ph.D., Associate Professor, Georgia Institute of Technology
• Supervisor: Gentès Annie | Ph.D., Professor, CodesignLab, Telecom Paris
• Examiner: Kogan Anne-France | Ph.D., Full Professor, Université de Rennes 2
• Co-Supervisor: Mahé Emmanuel | Ph.D., Head of Research, ENSAD – PSL Research Université
• Jury member: Mazé Ramia | Ph.D., Professor of Design Practices, Aalto University
• Examiner: Zacklad Manuel | Ph.D., Full Professor, Conservatoire National des Arts et Métiers

 

 

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Discussion neuro-evolutive diseases via design fiction

Chèr.e.s ami.e.s,

Venez débattre vendredi ! Je​ ​vous invite à un​ ​“forum des controverses” sur les enjeux éthiques des maladies neuro-dégénératives (les ‘forums des controverses’ sont des​ débat-fictions​ ​participatif) avec le projet Éphéméride.

•​ 19h-21h ce vendredi
• ​Cité Internationale des arts: 18 rue de l’hôtel de ville – 75004
• ​Débat dans l’Atelier 8220, noté numéro 9 sur le plan ci-joint

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NOUS NE SOMMES PAS LE NOMBRE QUE NOUS CROYONS ÊTRE” est le nom de l​’événement​ ​art-science dans lequel s’inscrit un atelier thématique de 36h sur les savoirs médicaux, auquel je participe en organisant ce débat​​.

Le fil conducteur de ce foisonnant programme est l’univers d’un recueil de nouvelles de l’auteure américaine de science-fiction Ursula K. Le Guin, The Compass Rose (1982). J’interviendrai au sein de l’atelier qui reprend le titre d’une de ces nouvelles « L’eau est vaste ». Celle-ci attire notre attention sur les rapports que nous entretenons avec les savoirs scientifiques et médicaux qui ne nous encouragent pas toujours à oser explorer d’autres formes de relations de nos corps et de nos êtres à la multiplicité des mondes, visibles et invisibles, qui pourtant nous constituent.L’atelier est porté par Valérie Pihet du collectif Dingdingdong – Institut de coproduction de savoir sur la maladie de Huntington, co-fondé par 17 chercheurs, artistes et professionnels. Dans cet atelier, il s’agira de s’intéresser au « soin des possibles », pour suivre la philosophe Isabelle Stengers quand elle nous invite à penser les possibles contre les probables. Étant toutes et tous concerné.e.s dans une vie par la maladie, que l’on soit soi-même malade, proche d’un.e malade ou professionnel soignant, nous tâcherons d’explorer les manières de prendre soin des différentes formes de savoirs constituées à partir de nos expériences, et non en dehors d’elles. Pour ce faire, nous proposerons des espaces de partage de pratiques d’artistes et de chercheurs qui mettent leurs savoir-faire à l’épreuve de ces expériences, avec les personnes concernées. Nous explorerons également, par des expériences sensorielles – parfois virtuelles -, chorégraphiques et narratives, la question du soin à prendre des sens et des histoires qui nous fabriquent. Ces expériences inviteront les publics à s’éprouver comme faisceaux de relations, espace d’accueil, d’étreintes et de partage.

​Programme ​spécifique ​de cet atelier :

  • De 15h à 18h le vendredi 2 février, rencontre avec des chercheurs, artistes et professionnels qui mettent leurs compétences et leurs savoir-faire à l’épreuve d’expériences partagées par des personnes concernées.
  • De 18h à 19h puis de 21h à 22h le vendredi 2 février, et enfin de 10h à 16h le samedi 3 février, retrouvez-nous pour explorer les possibilités narratives de la réalité virtuelle. Au programme, dans l’ordre, introduction/discussion, démonstrations et atelier de création proposés et animés par  Fabien Siouffi (Dingdingdong, Fabbula), Ferdinand Dervieux (Parallèles Editions/Sharpsense) et Sarah Garcin (designer graphique et designer d’interaction). Plus d’info dans le document joint. ATTENTION : pour participer à l’atelier de création, je vous invite à vous inscrire, nombre de places limité : hello@fabbula.com
  • De 19h à 21h le vendredi 2 février, participez au débat conduit par Max Mollon, designer, enseignant et chercheur dédié au design fiction depuis 2010 (Design Fiction Club, Politique-Fiction, What if ? – bureau d’études du débat public). Il portera sur le temps de la maladie tant du point de vue des patients que des aidants. Cette concertation débutera par la présentation d’images fortes – conçues pour l’occasion, afin de stimuler le débat – qui mettent en perspective des scènes de vie de patients, et du même geste, des questionnements éthiques propres à ces sujets complexes.
  • De 22h à 10h la nuit du 2 au 3 février, venez nous rejoindre pour vivre une expérience sensorielle qui vous invitera à percevoir et ressentir les corps et les lieux comme des espaces de tâtonnement, d’étrangeté et de partage! Cette expérience est proposée par la chorégraphe Anne Collod (Cie … & alters, Dingdingdong).
  • De 18h à 19h30 le samedi 3 février, assistez à l’atelier « Tâla Médical » proposé par Luc Perera (chercheur en design sonore médical/programme doctoral SACRe), en présence de deux musiciens. Comment le design sonore médical et la musique classique de l’Inde du sud peuvent faire alliance pour tenter d’explorer une préoccupation politique et sociale majeure qui est le vieillissement de la population ? Quelle pratique pour quelle forme de soin ?
  • En permanence : exposition Dingdingdong – Institut de co-production de savoir sur la maladie de Huntington comprenant vidéos (deux capsules vidéo du docteur Marboeuf à propos de l’unité spéciale Alice Rivières et une vidéo intitulée Journal du futur d’Alice Rivières produites par le département «Narration spéculative» de L’Institut Dingdindong) et documents (posters et centre de ressources)

 

 

Je vous encourage vivement à regarder le programme de tout l’évènement. À consulter en ligne, ici.

Cet événement est proposé par la Fondation Daniel et Nina Carasso, en partenariat avec la Chaire “arts & sciences” (portée par l’École polytechnique / l’École nationale supérieure des Arts Décoratifs – PSL / la Fondation Daniel et Nina Carasso) et la Cité internationale des arts. Il rassemblera des centaines d’artistes, chercheurs et groupes de travail d’horizons géographiques et disciplinaires très variés autour d’une expérience inédite, en continu pendant 36h. Ils vous invitent à réfléchir sur le présent et à esquisser ensemble des voies d’avenir.Le programme est très riche et réuni Toutes les infos ici : http://chaire-arts-sciences.org/nous/

 

 

Avec la participation de (Warning, name dropping!) :

​Bruno Latour,
Pierre-Damien Huyghe,
Christophe Leclercq ,
Giovanna Di Chiro,
Laurent Jeanpierre,
Kristin Ross,
Emmanuel Mahé,
Samuel Bianchini,
Lucile Haute,
Max Mollon,
Ferdinand Dervieux,
Sarah Garcin,
Benoit Verjat,
Nicolas Couturier,
G.U.I.,
Julie Blanc,
David Bihanic,
Anthony Masure ,
Robin de Mourat ,
Vincent Piccolo ,
Annick Rivoire,
Nolwenn Tréhondart,
Valérie Pihet,
Julia Morandeira,
Arrizabalaga,
Thierry Mouillé,
David Zerbib,
Naïm Aît-Sidhoum,
Armand Béhar,
Stéphane Bérard,
Grégoire Bergeret,
Filippo Broggini,
Marie-Haude Caraès,
Nicole MarchandZanartu,
Matthieu Clainchard,
Alexandre Costanzo,
Anna Dezeuze,
Elie During,
Bastien Gallet,
Gianni Gastaldi,
Laurent Jeanpierre,
Charlie Jeffery,
Farah Khelil,
Julia Kremer,
Mauro Lanza,
Frédérique Loutz,
Sophie Mendelsohn,
David Rabouin,
Gaëtan Robillard,
Didier Tallagrand,
Christian Ruby,
Linda Sanchez,
Nicolas Tixier,
Ewen Chardronnet,
Aliens in Green ,
(groupe d’artistes composé,
de Bureau d’études,
Ewen Chardronnet,
Mary Maggic,
Julien Paris,
Spela Petric),
Xavier Bailly,
Julien Bellanger,
Benjamin Cadon,
Nathalie Blanc,
Lauranne Germond,
Annick Bureaud,
Isabelle Carlier,
Erik Noulette,
Chloé Desmoineaux,
Nicolas Floc’h,
Amanda Crabtree,
Valérie Gentilhomme,
Fabrice Lizon,
Jeff Guess,
Léa Le Bricomte,
Robertina Sebjanic,
Annie Sprinkle,
Beth Stephens,
Carole Thibaud,
Miha Tursic,
La Paillasse (Paris),
Garance Malivel,
Jamie Allen,
Merle Ibach,
Jennifer Crouch,,
Nicholas Shapiro,
Christophe Guérin ,
etc.

Discussing Lyon-city’s future (2048), and the Anthropocene via Design Fiction

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 Il reste quelques places pour l’atelier de Max Mollon “Lyon en 2050″ ! Pour avoir eu la chance de participer à des ateliers de “design fiction” avec lui, je ne saurais que trop vous conseiller de vous inscrire ! C’est ouvert à tous, et ça marche encore mieux si nous avons des participant.e.s aux profils très différents. Pas besoin d’être designer, scientifique, universitaire ou même de savoir ce que signifie “anthropocène”. Il suffit d’aimer discuter, brainstormer, inventer… bref, imaginer ensemble ! Et c’est bien sûr gratuit :) 
 Pour les inscriptions, c’est par là : https://goo.gl/forms/nVP9MGYqJgIIFWZV2
 Dans le cadre de La Nuit des idées : Imaginer la ville anthropocène le jeudi 25 janvier de 14h à 18h.

 

(Photos et textes par October Octopus – Cedric Duroux)

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October Octopus  vous remercie chaleureusement pour ces deux jours d’imagination collective au pouvoir chez In-Sted pour La Nuit des idées : Imaginer la ville anthropocène. On vous donne RDV l’année prochaine !!!
– Thank you ever so much Kabir MokamelOmaid Sharifi (ArtLords) and Cart’1 !  (thanks Institut français d’Afghanistan – IFAPascal Hanse and Hervé Ferrage for making this happen!) Kabir, Omaid, I’ll see you in Kabul!
– Mille mercis également, par ordre d’apparition, à : Émilie Notéris  Max Mollon , Catherine Larrère Anne AR  (I AM with them), Francois GemenneCyrille Hanappe, Claire Rodier, Cécile Daumas (Libération), Julie Plozner (Groupe Singa Lyon, Julie Le Gall, Guillaume Faburel, Etienne Josien , Alfonso Pinto Emmanuelle Pireyre Bertrand Stofleth Marie-Monique RobinArchipel CDCU , Olivier Hamant, Raphaël Bourgois,AOC le  (thanks Sciences Po LyonRenaud Payre, Isabelle Garcin-Marrou), Jean-Yves Toussaint, Estelle Loukiadis, Sylvie Barraud    , Mathilde Girault, Thibaud Cavaillès (+ Air Z, Assemblée de la Plaine, Afev Grand Lyon, Atelier Bivouac, Atelier CAPACITES, Atelier Populaire d’Urbanisme Villeneuve, Yes We Camp, Alternatiba…), Isa DurouxMembre Singa Lyon , Singa LyonSinga Lyon BuddyLe Petit Bulletin Lyon.
– Merci à Jean-Philippe Geoffray pour la technique, Dawn Sheridanpour l’interprétariat, et Koko pour la  !
– Merci à l’École Urbaine de Lyon (Michel Lussault et François Pirola) pour votre confiance. Et merci INSTITUT FRANÇAIS pour cette initiative.
Et last but not least, bravo à Grégory Fayolle, qui a assuré comme un chef !

Update on a year of field work (en Français)

Dans le cadre de la collaboration avec l’Espace Éthique Île-De-France depuis le 10/02/2015, ce bilan d’activité présente nos avancées.

 

How to… writing a PhD thesis

Courtesy: © Og-vision | Dreamstime.com
Courtesy: © Og-vision | Dreamstime.com

This post is not about how conducting research. The best hints I found on that subject come from: Turabian K.L., 2003, A manual for Writers, of Research, Papers, Theses and Dissertations. This post is about the challenge of writing effectively – and it will be completed along my redaction process.

Writing a PhD thesis is hard work, indeed. But what makes it different from other similar tasks?
Working on a report or a story, spending any long-period of labour on a computer… own all common points with the one of writing a PhD thesis. It remains however different, as: it engages yourself, your integrity and identity and therefore, it is oriented toward a specific jury as well as a larger community, it must evidence originality and demonstrate anchoring into shared roots… this activity is closer to building an exhibition for a competition than writing a novel!

Things I’ve learnt (on myself) during the writing process.
Indeed! the most specific part of that activity remains in the fact it is personal. It becomes a path towards knowing self better. This explains why there is no one method, but several redaction hints to try out.

  • Wide and open spaces are good for inspiration, but are distracting
  • Busy places & seing friends is good for stepping back, but opens the way to small talk
  • Tiny and closed spaces are good to focus, but (can) dispirit and dries motivation
  • Meditation is good to break distraction, but should not replace a real break
  • Routine is necessary to avoid starting it all-over again every morning, but does not go well with isolation!

Reflection: How presenting design projects in a research publication (and especially a PhD thesis)?

Image courtesy: https://expertadvantage.files.wordpress.com/2012/09/getting-your-hands-dirty.jpg
Image courtesy: https://expertadvantage.files.wordpress.com/2012/09/getting-your-hands-dirty.jpg

I struggle to chose a way to present my design projects in the manuscript of my thesis, I relay here my random thoughts.
Why presenting a detailed account of a design project, to proof one is a good designer? That would not be part of the desired knowledge shared in a research. It makes sense to detail a design project and its progress steps when design choices and the whole work-in-progress experience generated knowledge that informed the experiment (ie. adjusting the design of the artefact or the one of the experiment protocol). Therefore, if one needs to support a project presentation with something else than text, what would be relevant?
After a quick brainstorm, I came up with three modes for presenting design project along a PhD thesis – this need to be discussed, corrected, mixed and/or combined.

brainstorming - how to publish design practice based research
brainstorming – how to publish design practice based research
Two challenges in publishing design-based research:

What is an appropriated format for design research publication? And especially research through design, within a PhD thesis.
After a quick brainstorm, I came up with two main challenges due to the nature of design artefacts – indeed, they are aesthetically “experienciable”.

  • Challenge 1: text does not provide material/aesthetic perception of artifacts (from photos/videos, to exhibitions, to demos, to experiment – one-shot or period of time)
  • Challenge 2: there are 2 different agendas in a situated design projects (client/project agenda + peers/experiment agenda

 

Challenge 1: visually and aesthetically supported publications
As I see it, behind all the publication question resides in particular two motivations: easing access of design trained researchers to the “production” and “reception” of knowledge. As an answer to this, various formats in the design and HCI communities tend to leave more space for visuals (Pictorials, extended abstracts, work in progress…). However, if a publication is essentially visually supported: how could it be relevant for the research community as well as for non-researchers (designers)?

Let us build on the Pictorials example and ask: what could be pictorials evaluation criteria? according this is a young and evolving format, dedicated to the DIS community.
1 contribute – to scientific knowledge
2 benefit – from being visual
3 crafted – relevantly and professionally
4 text – role, should accompany
5 format – is original

 

A step further would be to wonder, from a more general point of view, how to optimise the text-visual ratio in a visually-supported publication? Inspired by the DIS pictorial format guidelines, I would suggest that:

• visuals have to create a narrative on their own;
• work in progress documentation is only shown if it generated knowledge that strongly informed the design of the artifact or the experiment itself;
• text must not describe (repeat) visuals, it might reveal minutia or extract meaning from linking disparate content;
• Merging findings and discussion might make the presentation more concise;
• Give hints on how to exploit the knowledge produced;
• If pictorials are injected in a thesis: say a word on how it relates to the experiment/whole thesis.

But still, formats as pictorials have present many limitations : how can the layout design enhance the overall aesthetic and functional experience of getting the paper’s content? Is this format similar to the take-away section of a prior (referenced) paper. Then, is the pictorial format confined to be an illustrated case study, or the illustration of a previous paper? Does its restricted amount of text makes it dependent to older research work? Does it contribute to creating a trans-media research publication strategy for authors?

How to go beyond visuals when aesthetically presenting a design project, within a PhD thesis? I would suggest enhancing the reader (or PhD thesis jury) experience of the project, aside of the reading, thanks to:
• Photos, videos, website
• Postal shipped prototype
• Exhibition
• Defense as a performance
• Trans-media (combining the previous propositions)

 

Challenge 2: presenting a situated design project
There are 2 different agendas in a situated design projects (client/project agenda + peers/experiment agenda. I therefore propose two modes for presenting design project along a PhD thesis, using pictorials. Here follows the text description of the brainstorming picture above.

 

Pictorial Mode:
Here, project agenda and experiment agenda are separated to make the research contribution clearer. Imagine this section organization along the thesis manuscript:
• Expé abstract
—• Proj abstract
—• Proj context, demand, client
—• Proj work in progress, answer
—• Proj user test & results (for client)
• Expé related work, questions, hypo
• Expé méthode, protocol
• Expé factual findings
• Expé discussion

Annexed Reflection Mode:
Here the last section allows to reveal the dirty reality of the work in progress phase, and how it informed the making of the experiment. As shown in the picture, this is Inspired by Wendy Mackay triangulation across disciplines diagram ( example) (check also Samuel huron’s PhD thesis defense rework version). Imagine this section organization along the thesis manuscript:
• Expé abstract
• Expé related work, questions, hypo
• Expé méthode, protocol
—• Proj abstract
—• Proj answer
—• Proj user-test
• Expé factual findings
• Expé discussion here or later?
• Expé/Proj interwoven annexed reflection on how the design process influenced experiment adjustments

This last mode is describe in the next picture/brainstorming.
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Discussion:
Please, feel free to comment this blogpost, this is a work in progress. I will update this Discussion section later on.

References:
• Wendy E. Mackay and Anne-Laure Fayard. 1997. HCI, natural science and design: a framework for triangulation across disciplines. In Proceedings of the 2nd conference on Designing interactive systems: processes, practices, methods, and techniques (DIS ’97), Susan Coles (Ed.). ACM, New York, NY, USA, 223-234. DOI=http://dx.doi.org/10.1145/263552.263612

Viral videos about war in Syria

Same subject, same medium (video), but two different media strategies (& different aims): getting people interested VS learning something & engaging reflection regarding what we hear in the press.

It feels like emotion and knowledge do not go together. Playing with emotions would ruin the scientific credit of a serious video. Nevertheless, should (the great people of) gap-minder team try unsettling our emotions to also go viral? To be noticed, the medium are diferent in the video (fiction VS interview + data-visualisation), but this difference is minor, as making something emotional is also doable with interviews and dataviz.


VS

Project: Design fiction, the construction of publics – Iteration-1.4 – Experiment & feedback

Next steps of the project here 0. Hypothesis, 1.1 Discovering, 1.2 Defining & Developing, 1.3 Delivering.

I’ve been commissioned by the head of a research department at INRA to propose design artefacts that help scientists take new perspectives on their work. The aim is to discuss social, cultural, economical, juridical, ethical implications of these researches.

Here are the results of the questionnaires. More details on our thoughts on these results to come soon in this blog post.

2014.11.27-expe-01

2014.11.27-expe-02

2014.11.27-expe-03

2014.11.27-expe-04

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